Chacun peut contribuer à réduire la pollution lumineuse/les émissions de lumière. Cela est facile à mettre en œuvre grâce à quatre conseils.

 

1. N'éclairer que lorsque c'est nécessaire.
   Avant d'installer un éclairage, il convient de se demander s'il est réellement utile. En outre, on peut réfléchir à la durée de l'éclairage. Doit-il vraiment s'agir d'un éclairage permanent ou peut-on utiliser des détecteurs de mouvement et des minuteries pour fixer des limites à la lumière artificielle ?
    

2. N'éclairer que ce qui est nécessaire.
   Lors de l'installation de la lumière artificielle, il faut veiller à ce que le rayon de l'éclairage soit le plus petit possible, c'est-à-dire qu'il n'éclaire pas inutilement loin.
    

3. Attention au choix des luminaires.
   Lors du choix des luminaires, il convient de faire attention à leur température de couleur. Celle-ci doit être inférieure à 3000°K, afin que la lumière ne soit pas trop vive et n'attire pas inutilement de nombreux insectes.
    

4. N'éclairer que du haut vers le bas.
   Cette direction d'éclairage doit absolument être respectée afin d'éviter la formation de ce que l'on appelle des "cloches de lumière".

 

En suivant ces conseils, on contribue non seulement à lutter contre la pollution lumineuse et à valoriser le ciel nocturne naturel, mais on économise également de l'énergie et de l'argent.